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Quand j’ai reçu ce sac bio personnalisé au nom de mon blog, ma naïveté légendaire n’a fait qu’un tour ! Nan mais c’est fou, ma conseillère bancaire, connaît mon blog ! Puis, j’ai vu la carte de l’agence de com, et là, j’ai compris que mon adorable banquière n’y était pour rien :)

En effet, le Crédit Agricole pour mettre en valeur ses engagements sur le développement durable me permet de faire gagner un sac bio à 10 d’entre vous !

Pour participer c’est simple, citez-moi un geste écolo qui fait partie de votre quotidien (autre que : je fais pipi sous la douche pour économiser une chasse d’eau). Je tirais au sort 10 commentaires. Vous avez jusqu’à dimanche 25 mai à minuit, le cachet de la poste du web faisant foi (oui, ça existe m’dame).

Thecelinette

Vous pouvez découvrir quelques-uns des engagements du Crédit Agricole ici : engagé et être responsable. J’y ai découvert des initiatives surprenantes et intéressantes, dont parfois des partenariats avec d’autres associations comme WWF par exemple.

Si vous êtes friands d’astuces écologiques, je vous encourage également à découvrir leur page Facebook : https://www.facebook.com/creditagricoleagirdanslebonsens . Ils y dispensent conseils et informations comme cette intéressante infographie sur le circuit d’une carte bancaire. Ils relayent aussi d’excellents articles sur le sujet, comme celui sur l’artiste américain Gregory Kloehn qui construit des maisons pour les sans-abri à partir matériaux récupérés. Bref, une page fan à découvrir !

Résultat du concours :

Bravo ! Après tirage au sort, les gagnants sont :

  1. Glawdys
  2. Vanessa Degrave
  3. Ambre Jam
  4. Mamanh24
  5. Elve
  6. Maud
  7. Ocalinex
  8. Anne-Lise
  9. Christophine
  10. Atour du dressing.

Si les médias se plaisent à relayer les affres du net, ils en oublient consciencieusement d’en dévoiler les bonnes initiatives : le site recupe.net en est une.

Comme certains d’entre-vous, je prends cette fin d’année comme un bilan : qu’est-ce que j’ai accompli dans ma vie et qu’est-ce que j’ai encore envie d’entreprendre? Recréer un environnement de vie qui me ressemble faisait partie de cela.

Alors j’ai décidé de faire un tri chez moi. Parce que quand on a trop de ressources (livres, vêtements et tutti quanti) loin de vivre l’abondance, on oublie tout simplement de les utiliser. J’ai donc décidé de ne garder que l’essentiel, ce qui me ressemble, ce qui me vivifie et ce que j’utilise.

S’est alors posée la question suivante : que faire de ces biens dont je ne veux plus. Les jeter m’a paru une bien mauvaise idée pour plusieurs raisons :

  • Car ils ont fait mon bonheur fut un temps.
  • Car j’ai connu des périodes de vaches maigres pendant lesquelles 5 francs était pour moi une énorme somme. Alors pour ces gens là, et pour faire un peu la nique à la société de sur-consommation. J’ai décidé de donner.

Au cours de mes recherches, j’ai trouvé plusieurs sites pas forcément super bien conçus techniquement mais bon, mais parmi ce lot j’ai choisi le site recupe.net. Car c’était le seul qui affichait une véritable éthique et à mon sens, une vraie démarche sociale et philanthropique. J’ai demandé quelques avis via Twitter, et c’est là que Charles Liebert m’a dit utiliser ce service depuis 2005. Il est toujours en avance sur tout ce Charles, il m’énerve ;)

J’ai mis hier en ligne mes premières annonces et j’ai déjà un gentil receveur qui vient chercher mon four cet après-midi. Dans l’aube, nous ne sommes que 4 donneurs, un moustachu et moi … Mais ce site est très réactif.

Et vous la démarche vous en pensez quoi ?

PS : ce site est administré par des particuliers de manière bénévole

alors si vous voulez les soutenir en faisaint un don c’est par ici !

Le samedi matin, j’enfourche ma bicyclette, tel un Freddie Mercury déterminé, pour aller au marché, mettre les yeux et les mains dans les senteurs d’été. Le thym, le basilic, les aubergines, les salades sauvages. Je suis rentrée riche de mes trouvailles. Le coeur en fête, les papilles en émoi. C’est au coeur de ce passage idyllique, que j’ai trouvé dans mes cocos blancs : des charançons !

charancon

Quel est cet invité me direz-vous ? C’est membre de la famille des coléoptères, un vague cousin du scarabée en plus petit qui se nourrit de nos farines, haricots et riz. Je ne vous montre pas sa photo. Faut-être honnête, il a une sale trombine. De plus, il a la libido au top (comme quoi on peut avoir le faciès difficile et faire l’amour comme un dingue) autant s’en débarrasser au plus vite. J’ai donc fissa fissa amorcé une procédure amiable avec les dites bêtes leur expliquant que comme, dirait Zebda, « ça va pas être possible ». Elles m’ont quasi-ignorée (si, si, si, j’vous jure) et ont secoué les antennes d’une manière fort irrespectueuse. J’ai du passer à la phase d’attaque !

Comment faire pour se débarrasser des charançons quand on ne veut pas passer par la méthode insecticides ?

  1. Le chaud : ébouillanter les bestioles quand c’est possible. C’est ce que j’ai fait avec mes cocos qui trempent actuellement dans une eau bouillante. Le charançon étant plus léger que le coco, il flotte (dans le cas contraire, vous habitez près d’une centrale nucléaire dont la sécurité est fort douteuse, soyez mignons, prévenez les autorités du coin). On prend une petite passoire (en l’espèce offerte par mon amie Sophie) et on éjecte les bestioles sans les sauver de la noyade (si vous avez votre brevet de secourisme, abstenez-vous).
  2. Le froid : pour les farines susceptibles d’être contaminées : les mettre au frigo quelques jours. Radical, ça tue la bête. Avez-vous déjà rencontré un charançon en arctique? Non. Moi non plus, problème résolu.
  3. L’astuce de l’herboriste : mettre des feuilles de laurier dans vos placards. C’est le parfum pas du tout à la mode chez ces coléoptères, enfin pour la saison 2009/2010 :)
  4. Le plus : les boites hermétiques pour protéger nos denrées.
  5. J’ai terminé par un giga ménage de printemps (ok on est en été, mais vu le temps … :)

Et voilà : le charançon : 0 – TheCélinette : 1