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Est-ce que les femmes pratiquent des sports de contact ? Oh oui, baby ! Elles en pratiquent plusieurs mais aujourd'hui, j'avais envie de vous parler de celui que j'ai testé pour vous : le roller derby.

Le roller derby est inspiré du catch. C'est donc un sport de contact qui se pratique en équipe. La particularité de ce jeu est que vous laissez vos baskets au placard pour les troquer contre des patins à roulettes à quatre roues (des quads). Il se pratique sur des pistes planes ou inclinées (track), l'objectif étant pour l'une des joueuses de réussir à dépasser en un laps de temps donné les joueuses ou les joueurs adverses sans se faire projeter au sol, ni sortir de la piste. C'est un sport international avec des ligues partout dans le monde.

Ce sport est mixte à la base, mais aujourd'hui, les femmes occupent clairement le terrain. Pourquoi ? En réaction au puritanisme ambiant aux USA, les femmes ont voulu prouver qu'elles pouvaient elles aussi faire des sports dans lesquels ont ne les attendaient pas. C'est pourquoi, c'est un sport essentiellement féminin. L'ambiance : féminisme, liberté de look et cool attitude avec un punch incroyable pour tenter de faire gagner son équipe.


Immersion dans l'équipe de roller derby des Trick'ass de Troyes


J'ai assisté à un entraînement de l'équipe Trick'ass de roller derby. Je suis entrée à petits pas, car soyons honnête, je n'ai pas fait de roller depuis un bail. Et petite, je n'étais pas très douée. Je me revois les bras en avant, les bras en arrière, puis en train de les mouliner dans les airs pour tenter de garder mon équilibre. Mon seul avantage : je n'ai connu que les patins à quatre roues. Premières impressions : l'ambiance est conviviale, les femmes sont très différentes. On s'imagine vite dans l'équipe car il n'y a pas de profil type. 


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Assez rapidement, on m'explique les règles, les marquages au sol. Je les regarde simuler une compétition pour mieux comprendre. Puis viens l'essai. Je m'équipe : casque, coudières, genouillères, et protège-dents. J'enfile mon amie du moment : ma paire de quads prêtée par l'asso pour l'occasion. Là, c'est la panique. Mais on me guide pas à pas, avec l'astuce essentielle, plier les genoux pour bien maintenir son équilibre. Je me suis sentie vraiment épaulée et non jugée (ça fait un bien fou). Puis j'ai participé à une simulation de compétition. Mon but, m'associer à d'autres membres de mon équipe pour tenter d'empêcher la jammeuse de passer. Je mise tout sur mes cuisses et mes co-équipières pour tenir bon. C'est vraiment un sport d'entraide et de technique.

C'était ma toute première expérience dans cette discipline et je suis contente d'avoir pu participer malgrès mon faible niveau. On sent que c'est une vraie rencontre humaine à côté du sport.


Roller derby : les règles du jeu


"Une partie de roller derby dure 60 minutes avec deux équipes de quinze joueurs s'affrontant au cours de jams de deux minutes. Cinq joueurs de chaque équipe sont présents sur le terrain (appelé track) en même temps, chaque équipe désignant un(e) jammeur(se), unique personne pouvant inscrire des points, et quatre bloqueurs(ses) (blocker) dont une pouvant être un pivot. Le(la) jammeur(se) possède un couvre casque avec deux étoiles dessus alors que le pivot porte un couvre casque avec une bande.

Un match est décomposé en deux périodes de 30 minutes avec une pause de 15 minutes entre les deux périodes. Le jeu s'articule autour de jams, périodes de deux minutes pendant lesquelles les deux équipes tentent de marquer des points. Les points sont inscrits par les jammeuses, qui se déplacent dans le sens inverse des aiguilles d'une montre (sens du jeu). Elles essayent de passer le pack autant de fois que possible. Après avoir passé le pack une première fois, les jammeurs(ses) pourront marquer un point à chaque fois qu'ils/elles passeront en toute légalité un(e) bloqueur(se) adverse. Plusieurs arbitres sont nécessaires autour du track afin de signaler les pénalités aux joueurs(ses), compter les points, chronométrer les différents temps de jeu… Une partie de roller derby nécessite au moins trois arbitres à patins plus quatre officiels sans patins." source : wikipédia roller derby


Conseils pour pratiquer le roller Derby


Vous avez envie de vous lancer, mais vous vous posez encore quelques questions, voici les informations principales à avoir avant de pousser la porte d'un club.


  • Un film à voir : Bliss (Whip It!) réalisé par Drew Barrymore.
  • Un équipement à acheter : prévoir environ 250 euros (roller / coudières, genouillères, protège-dents / casque)
  • Qui peut en faire ? Tout le monde ! Les mères de famille, les étudiantes, en bref, toutes les femmes sportives ou pas. 
  • L'état d'esprit & la motivation : aimer un environnement sportif et avoir l'esprit ouvert. 
  • Age nécessaire pour pratiquer : 18 ans.
  • Le bon moment pour intégrer un club : en septembre (début de saison)
  • Plus d'infos : Women's Flat Track Derby Association (en anglais) ; Fédération française de roller et de skate 


Après avoir entendu un ancien collègue de bureau parler de sa montre connectée Fitbit, j’ai trépigné et j’ai demandé à Fitbit de m’en prêter une pour quelques semaines, histoire de voir si le produit était sympa. J’ai donc testé la Fitbit charge HR en septembre dernier. Puis je l’ai rendue (j’ai eu du mal, j’avoue) et je viens de m’offrir la Fitbit blaze pour mon anniversaire. Voici mon avis sur ces deux montres connectées.

Prise en main et environnement Fitbit


Mon profil : novice en object connecté … et novice confirmée en sport ;)

Personnellement, je ne suis pas connue pour être une sportive invétérée. Je suis ceinture blanche en karaté depuis plusieurs années, je maîtrise complètement la posture de la limace en yoga. Mais, j’ai eu une prise de conscience pourquoi finir vieille et flapie alors que tu peux vieillir en te musclant. J’ai hésité entre m’acheter le rameur de House of cards (2000 euros, très beau mais merci) et une montre connectée. Me voilà donc avec une montre au bras. Première étape, la découverte de l’univers Fitbit (site Internet et application mobile).

Points forts :

  • Le mail qui te prévient que la batterie est faible. Du coup, pas de mauvaises surprises.
  • La partie sur le sommeil est très intéressante : elle vous informe sur la durée et la qualité de votre sommeil (phase de sommeil / d’éveil / de réveil). Cela m’a par exemple permis de comprendre que j’ai besoin d’une grosse nuit de sommeil dans la semaine pour être en forme. Cela permet aussi de détecter des anomalies. Par exemple alors que j’avais une bonne qualité de sommeil (8h de sommeil quotidien atteint et très peu de phase d’éveil ou de réveil environ 10 à 20 minutes par nuit.
  • Analyse alimentaire : l’enregistrement des aliments que vous mangez est très fourni (bonne base de données). Il manque toujours un truc, mais l’essentiel y est.
  • L’option découverte : qui nous pousse à réaliser des objectifs (marcher plus par ex. …). Ca nous donne envie de nous bouger davantage. quid de l’usage à long terme.
  • Les défis : la possibilité d’ajouter des amis et de leur lancer des défis sport. On peut les lancer à un groupe d’amis sans lien entre eux.
  • La messagerie privée (attention on est limité en nombre de caractères, mais le but n’est pas de raconter sa vie). Personnellement, je ne l’utilise que peu.

Points faibles :

Je n’ai pas de vrais points faibles à donner.

L’application est bien conçue. Sur cet exemple on voit clairement que je suis passée d’un bon sommeil à un sommeil complètement merdique. Du coup, j’ai une tête de rat crevé (j’ai voulu vous faire un montage photo avec ma tête et celle d’un rat décédé pour preuve mais mes proches m’ont dissuadé).

Je suis donc en train de tester des solutions pour re-dormir correctement et d’ici là, oui, je vais être de mauvaise humeur :)

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Mon test de la Fitbit charge HR : j’aime !


J’ai vraiment aimé cette Fitbit charge HR. Elle convient vraiment à mes besoins.

Une montre connectée est une montre électronique équipée d’un »tracker » d’activité. Elle va donc collecter des données vous concernant (votre rythme cardiaque, vos mouvements …) les analyser et les envoyer à l’application Fitbit dédiée. Vous pouvez compléter ces données par d’autres en rentrant votre poids, votre taille, ce que vous mangez et ce que vous buvez (quantité d’eau). Si vous avez envie d’être plus actif, d’être plus en forme tout en faisant attention à votre qualité de sommeil, c’est un compagnon connecté très sympa. Personnellement, j’ai besoin d’objectifs et d’informations quantitatives pour me motiver à être active. Maintenant, je sais combien de minutes dans la journée, j’ai été active (et si je ne les ai pas atteinte, je me bouge), si j’ai éliminé des graisses ou si j’étais en cardio et combien de calories j’ai dépensé.

J’ai découvert des choses formidables : si tu es en retard à un rendez-vous (cet exemple est un exemple fictif, toute ressemblance avec ma vie est bien évidemment fortuite) et que tu te maquilles en speed. Tu brûles des graisses, oui l’ami. Si tu fais l’amour, tu brûles des graisses (bon après ça dépend avec qui). Bref, tout un monde de dépenses de calories s’offre à moi. Est-ce que cette montre connectée me pousse à faire plus d’exercices ! Clairement oui ! Ce qu’il faut savoir avant de commencer c’est que la montre, va être connectée à l’application Fitbit (disponible aussi en version web).

Points forts :

  • Une très bonne autonomie et ça c’est vraiment appréciable !
  • Boitier de synchro qui vous permet de synchroniser même si vous n’avez pas un smartphone dernière génération.
  • Jumelage avec la balance Aria (pas testé, mais j’en meure d’envie)
  • Capteur cardiaque (sur la version Charge HR). Prise en permanence du matin au soir dont pendant la période de sommeil.

Points faibles :

  • Cable propriétaire si tu le perds, t’es mal (voir le prix)
  • Etanchéité relative (pas possible d’aller à la piscine avec)
  • Ce n’est pas d’une précision absolue mais c’est déjà très bien (voyons les avancées de la techno sur le sujet dans les années à venir). Ne pleurez pas s’il vous manque trois pas. Manque cruellement : la période d’ovulation mais je pense ça va venir :D
  • Un lien entre la fitbit et le centre médical qui nous suit, puisque par exemple le cardiologue Patrick Jourdain pense que le rythme cardiaque au repos est un excellent indicateur des risques de maladies cardio-vasculaires. Il doit être compris entre 60 et 70… c’est-à-dire, qu’il ne doit pas dépasser 70 pulsations par minute au repos. Car « plus la fréquence cardiaque au repos est élevée, plus le risque de décès par mort subite dans les 10 à 15 années qui suivent est important ». Et, là je regarde ma fitbit et je vois au repos 76 ! J’vous couche sur mon testament ?! Je pense que ça serait super intéressant notamment dans le cadre des troubles de sommeil.
  • Le bracelet plastique de ces générations là de montre me démangeait.
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Mon test de la Fitbit Blaze : bilan mitigé


J’ai achetée la Fitbit Blaze sur un coup de tête (oui bon, ça va) mais à l’usage pour le moment, je préfère la charge HR ( rapport qualité / prix). La prise en main a été un enfer, ça ne m’a pas du tout mise en confiance sur le produit.

Points forts :

  • Ecran plus grand.
  • GPS intégré. Ca c’est vraiment bien.
  • Ecran couleur : mais personnellement, c’était pas une attente pour moi.
  • FitStar :
  • Toujours la possibilité de voir ses SMS et l’appelant. Avec une nouvelle fonction, la possibilité de décrocher l’appel depuis sa montre. Ce qui à l’usage est super pratique quand on court après son téléphone dans son appartement !
  • Plus de démangeaisons avec le plastique. Mais j’ai acheté chez un autre fournisseur un bracelet métallique qui est plus agréable que le plastique (pas top pour laisser la peau respirer). On trouve pas mal d’autres bracelets assez sympa sur le net.
  • J’ai trouvé facilement sur le net, d’autres bracelet Fitbit pas cher (entre 15 et 20 euros) qui lui donne un style très symp !

Points faibles :

  • Le mode d’emploi ! La prise en main de la blaze n’est pas expliqué et n’est pas intuitif. J’ai dû chercher des vidéos sur le net de youtuber pour savoir comment charger la batterie de ma blase, je trouve ça dingue. On peut trouver des explications sur l’application à force de chercher.
  • Le logiciel pour connecter sa montre déconne sévère. Sur mon iMac, l’application refuse de reconnaître qu’il est en bluetooth et donc ne synchronise pas. Sur le Macbook, l’application me réclame une dongle or la blaze n’a plus de dongle. Le support fitbit m’en a envoyé une gratuitement. Mais l’application ne la reconnaît pas et continue à me la demander. Ca m’a bien pris la tête et à ce jour, le soucis n’est toujours pas résolu.
  • Globalement, la prise en main est laborieuse.
  • Le design la montre est un peu grosse pour mon poignet
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Verdict : Fitbit Charge HR 1 / Fitbit Blaze 0

Mon coeur balance finalement pour la Fitbit Charge HR. Je n’ai pas suffisamment de surplus de fonctionnalités pour vous conseiller de passer à la blaze. Et les soucis de synchronisation n’aident pas non plus. Bref, si c’était à refaire, je prendrais la charge HR en couleur

Next step, la balance Aria ? :)

Article partenaire – Test de produits

Impossible de résister à l’envie de partager avec vous cet incroyable spot publicitaire de Channel 4 pour les jeux paralympiques 2016 de Rio qui se dérouleront du 7 au 18 septembre prochain. La créativité des réalisateurs de ce spot nous montre le potentiel et la force du mental des athlètes de jeux paralympiques. Aussi esthétique que dynamique, sur une chanson de Sammy Davis Jr. « Yes I Can » (rebaptisée « We’re the Superhumans »), ce clip vous transporte avec une très belle vue des différences et des possibles, j’adore !

 

Moment fort de la vidéo : quand un écolier se retrouve face à un enseignant qui lui dit (en raison de son handicap) : « Non, vous n’en n’êtes pas capable » et le futur paralympien dans le plan suivant dans de lui répondre dans un cri de défi  : « Si, j’en suis capable ! »

Le casting fait par l’agence 4Creative, recense pas moins de 140 personnes handicapées de tous horizons. Les premiers jeux paralympiques ont eu lieu à Rome en 1960, nous sommes en 2016, combien d’athlètes paralympiques, connaissons-nous ? Si vous voulez mieux en connaître certains, voici la liste des athlètes et équipes anglais présents dans cette vidéo :

  • Hannah Cockcroft – ParalympicsGB Wheelchair Racer 00:32
  • Mel Nicholls – ParalympicsGB Wheelchair Racer 00:34
  • Joren Teeuwen – Netherlands Paralympics High Jumper 00:37
  • Matt Stutzman – USParalympics Archer 00:49
  • ParalympicsGB Wheelchair Rugby Team 1:00 & 2:24
  • Iaroslav Semenenko – Ukrainian Paralympic Swimmer – 1:26
  • Richard Whitehead – ParalympicsGB Athlete 1:27 & 2:09
  • ParalympicsGB Women’s Wheelchair Basketball Team 1:32
  • Piers Gilliver and Dimitri Coutya – ParalympicsGB Fencers 1.35 & 2:11
  • Ellie Simmonds – ParalympicsGB Swimmer 1:54
  • Libby Clegg – ParalympicsGB Sprinter 1:55
  • Sam Ruddock – ParalympicsGB Shot Put 1:56
  • Jody Cundy – Paralympics GB Cyclist 1:57
  • David Weir – ParalympicsGB Wheelchair Racer 1:57
  • Will Bayley and Kim Daybell – ParalympicsGB Table Tennis 2:07
  • Jessica Jane Applegate – ParalympicsGB Swimmer 2:10
  • Ali Jawad – ParalympicsGB Powerlifter 2:11
  • Natalie Blake – ParalmypicsGB Powerlifter 2:11
  • Micky Yule – ParalympicsGB Powerlifter 2:12
  • Chris Skelley and Jack Hodgson – ParalympicsGB Judokas 2.30

Si vous voulez télécharger la chanson, elle est disponible ici :  http://wearethesuperhumans.com sachez que tous les bénéfices iront à l’association caritative « British Paralympic Association ».

Le sport et moi, ça n’a jamais été l’amour fou. J’en suis dispensée depuis la 5ème. Mes derniers souvenirs de sport remontent à des joggings improbables dans un stade parisien porte de la chapelle. Mais aussi à l’apprentissage des barres asymétriques dans une petite salle du fond de la cour du collège Lamartine, où certains d’entre nous  frôlaient la mort. Je suis sur que plusieurs garçons de la classe n’ont jamais pu avoir d’enfant depuis ou chantent désormais dans des aigus formidables.

Les salles de sport et moi.

Un jour, dans un acte de courage insensé, je me suis rendue dans une salle de sport. Toutes celles que j’ai visitées m’ont fait fuir. Je les trouvais impersonnelles, peu esthétiques. Ce jour-là, cette femme insistait pour me faire comprendre l’urrrrgence qu’il y avait à m’inscrire. Or je n’ai jamais aimé la vente forcée. Cela fait tomber en moi tout espoir de professionnalisme de mon interlocuteur et me donne envie de fuir. Alors que Barbie m’expliquait que la clé de mon futur corps svelte et musclé se situait dans cette salle, mon esprit vagabondait dans ce lieu inconnu. J’étais déjà dubitative mais à la vue des photos kitch de la soirée raclette, je me suis dit « stop », et suis partie en courant (comme quoi mon objectif de faire du sport était atteint).

C’est un fait, je n’aime pas faire du sport en salle car je suis aussi à l’aise avec la coordination des mouvements qu’une poule avec une fourchette.  J’aime aller à mon rythme et je ne suis pas fixée sur ce que je veux faire. Et ne nous le cachons pas, j’aime la liberté de pouvoir faire du sport en slip chaussettes, si je le veux, de pouvoir m’arrêter pour aller prendre un verre d’eau. Et de pouvoir courir pour récupérer le chat coincé en haut de l’étagère. Bref, les salles de sport pour le moment, ça n’est pas pour moi.

L’option cours à la carte sur Internet.

C’est en surfant sur le net à la recherche d’un tapis de sol pour faire un peu de yoga chez moi, que j’ai trouvé des cours en ligne gratuits et je me suis dit que ce serait une riche idée de partager cela avec vous. Le net, c’est un bon intermédiaire avant d’intégrer un vrai cours. Mon chouchou en la matière c’est le site Domyos live qui est mis en place par la Décathlon. Le site propose des séances vidéo filmées en direct d’une salle de sport. Après plusieurs semaines de pratique en direct de mon salon et sous le regard ébahit et parfois effrayé du chat, voici mon avis.

 domyos_live

Avantages :

  • 45h de cours à la carte variés (yoga, body training, pilates …) 7j/7.
  • Des astuces pour pouvoir faire les exercices en fonction de son niveau.
  • Des prof vraiment sympa et pédagogues.
  • Un planning clair.
  • La possibilité d’exporter l’horaire d’un cours vers son google agenda.
  • La liberté de faire ce que l’on veut, y compris des pauses dans le cours.
  • La liste des articles de sport qui nécessaires à la pratique du cours (mais beaucoup de cours ne nécessite pas de matériel).
  • Pratique : les cours sont accessibles sur ordinateurs, tablettes, mobiles.

A améliorer : 

  • L’importation vers d’autres types d’agenda (type iCal) et un descriptif plus clair.
  • Développer la partie communautaire.
  • Intégrer la possibilité de voir des cours en replay.

Bon Domyos votre produit est chouette, si vous voulez l’optimiser, je suis votre femme !

Bref, cette option me ravit car le web regorge de vidéos vraiment appréciables. J’en aime particulièrement cette vidéo vintage de Marie Forleo. Et comme je suis toujours à l’affût de nouveautés, dites-moi quelles sont meilleurs vidéo sport.

 

Mariana Baum, m’a mis au défi quelques blogeuses de tester un cours de Pole Dance. Entre la flipette et l’excitation, j’ai dit oui :) Me voilà donc en quête d’un tout short permettant de dévoiler mes gambettes, afin de glisser sur la barre avec grâce, élégance et délectation. Coup de bol j’en ai trouvé un assez sympa et encore en solde. Il restait deux tailles 34 et 40. J’ai hésité, puis me suis raisonnée en prenant la plus grande taille. C’est dans la salle de danse que j’ai réalisé que j’avais pris le 34, donc autant vous dire que mon fessier était assez librement dévoilé. Bon bref, mettons ce détail technique de côté.

Est-ce que les cours de Pole Dance sont ouverts à tous ?

Mes appréhensions sur le pole dance, étaient dues au fait 1) que j’ai arrêté le sport en 5ème 2) que j’avais vu des vidéos avec des femmes bodybuldées à vous faire peur. Mariana, qui est l’ambassadrice française du pole dance, nous a rassuré en nous expliquant que notre corps allait se muscler (en finesse) tout au long de la pratique et que cette dérive de muscu était complètement has been. Cool j’allais pouvoir faire glisser mes hanches de Nutella sur la barre.

Comment se passe un cours de Pole Dance avec Mariana Baum ?

Comme je suis formatrice, je suis un peu à cheval sur la pédagogie, en l’espèce, j’ai été ravie. Les enchainements sont bien pensés, tout est expliqué, et on n’est pas jugé. Personnellement je n’ai réussi que la moitié des exercices (l’attraction terrestre, la peur de s’écraser sur la barre tout ça …). Mais je vais y retourner parce que je trouve que c’est un excellent moyen de se tonifier et de passer le temps dans les transports en commun : « M’sieur l’controlleur, j’peux pas vous donner mon ticket je suis entrain de pole dancer voyons » :) S’il y avait eu du pole dance à l’école j’aurai aimé le sport !

  • Techniquement : il y a un échauffement avant, et du strechning après (fondé sur des méthodes de yoga notamment).
  • Tenue : un débardeur, un short, et des chaussures à talons dans lesquelles vous êtes confortable.
  • Cours : il y a des cours par niveau donc pas de stress, on va à son rythme. Les cours durent entre 1h30 et 2h selon le niveau.
  • L’après cours : personnellement je suis me sentie super bien après le cours (comme après une bonne séance de sport). Je me verrai bien en faire toute l’année. Niveau corps : j’ai eu quelques courbatures au bras, mais rien de très prononcé. J’ai eu quelques bleus sur les jambes mais vraiment petits, j’ai mis deux jours à m’en aperçevoir.

Site : http://www.poledance-paris.com/

Renseignements/ réservations :
Tél : 06.99.13.7000
(de 10h à 18h du lundi au vendredi)
Email : info@poledance-paris.com

Historique du pole dance : article