S’offrir un massage des pieds accompagné d’un thé fumant, c’est pour moi un avant-goût de paradis.
Les mystères de l’orgasme féminin enfin expliqués dans une vidéo (en anglais) drôle et instructive.
Au programme : de la science, des statistiques et de la chimie …
Cela faisait un bail que je cherchais de vrais massages traditionnels chinois sur Paris. C’est donc assez curieuse que je suis allée découvrir le nouveau spa Lanqi de l’avenue de saxe à Paris. On m’avait proposé de tester un massage, autant vous dire que ma migraine et moi, on ne s’est pas fait prier.
J’avais quelques appréhensions en y allant. Je suis diplômée d’une école de massages traditionnels, que j’ai faite en Thaïlande, et je sais à quel point faire un massage est fatigant. J’ai toujours eu peur des massages à la chaîne et des masseurs qui travaillent dans de mauvaises conditions. Mais dès les premiers moments de découverte, mes craintes se sont évaporées.
Ce spa est vraiment tenu par des Chinois, et qui plus est par Mme Lanqi, qui est issue d’une famille de 5 générations de médecins traditionnels chinois. La maîtresse des lieux m’a fait le plaisir de venir spécialement me voir, la rencontrer était magique. Et quel personnage ! Une femme haute en couleur, styliste à côté de ça, qui allie l’artistique à une gestion très professionnelle des lieux.
Elle avait une idée précise en tête et elle l’a faite. Ici, tous les produits sont bio. Chaque élément de la décoration répond à une symbolique précise et est disposé selon les règles du feng shui. Mais surtout, ici, on laisse ses soucis à la porte pour se remettre entre les mains de vrais professionnels du massage traditionnel chinois.
J’ai opté pour le massage traditionnel (massage ancestral). Devant ma cabine, se tenait une petite dame : Mme Ping. Elle avait la discrétion et l’humilité de l’Asie et pourtant, elle a 40 ans de pratique dans les doigts. Je n’étais pas venue pour me relaxer mais pour tenter d’endiguer une migraine qui me ne quittait pas depuis deux mois. Et qui me fatiguait à l’extrême.
Soyons clair, le massage traditionnel, n’est pas un massage relaxant quand on le reçoit. Certaines zones de votre corps vont vous surprendre, car elles vont vous faire mal. Mais soyez courageux, le jeu en vaut la chandelle. Quelques heures plus tard, j’ai commencé à sentir que ma tête se décongestionnait. Comment j’ai dormi le soir ? Comme un bébé. Et le matin, quel bonheur de se réveiller vraiment reposée. Depuis, je suis en pleine forme. La fatigue qui me collait aux basques depuis des années s’est faite la malle, et ce n’est pas moi qui vais la retenir.
Vous pouvez découvrir ce spa, en solo, en duo ou entre amis. Il est accessible aux hommes comme aux femmes : massages, tisanerie, espace barbier, espace onglerie, épilation et sauna. Bref, c’est ma bonne adresse du moment. A noter que ce spa est ouvert le dimanche. N’hésitez pas à leur dire que vous venez de ma part.
La bonne nouvelle, c’est que jusqu’à fin janvier, vous bénéficiez de -10% dans le spa lanqi avenue de saxe, sur présentation de mon article (via votre smartphone ou en version papier).
D’autres avis sur le spa Lanqi :
- Elle Magazine – Un massage chinois pour une remise en forme immédiate.
- Chokomag : j’ai testé le massage énergétique chinois.
- Un battement de Sil : Massage chinois à 4 mains.
- Papotages de nana : spa lanqi, l’autre nom du paradis sur terre.
- Les chroniques d’une blonde : massage traditionnel chinois au nouveau spa lanqi.
Le stress nous cause parfois des petits désagréments. En général, on passe par une phase « j’m’en balance, j’suis plus fort que le stress ». Puis on tombe malade et là, on fait moins le malin. Comme, je faisais moins la maligne, je me suis décidée à appeler un médecin généraliste mais avec une spécialité que je voulais découvrir : l’acupuncture.
Me voilà donc à vélo, en route pour mon premier rendez-vous pour mettre un terme à cette dynamique de stress. Autant vous dire que je suis restée dans cette thématique sur le trajet puisqu’un charmant couple d’automobilistes m’a lancé un : « PUTE !! SALOPE !! ». Car, ils ont dû attendre 10 secondes pour que je puisse tourner. Pourtant j’avais mis mon clignotant : bras tendu à 90°, aisselles fraîchement épilées … Bref, j’étais dans mon bon droit. Je leur ai lancé un « WISIGOTH !! », mon insulte préférée qui suscite chez ce genre d’individu une lueur dans l’oeil à mi-chemin entre la rage et la débilité profonde.
Quelques minutes plus tard, me voilà quasi nue-comme un ver, ok en sous-vêtement, assise sur la table d’auscultation.
Dans le but de me planter des aiguilles le long de la colonne vertébrale, la doctoresse m’a alors demandé de faire le dos rond. Et là, et là, et là … Vous savez tous ces moments pendant lesquels vous vous êtes dit « je devrais refaire des abdos » ? Et bien, je peux vous assurer qu’en position assise avec le dos bien arrondi, le poids du Nutella vous le sentez bien et que ça vous motive comme jamais pour en faire.
Une fois les aiguilles plantées dans le dos, elle m’a dit « vous allez vous allonger sur le dos ». Là, j’ai d’abord pensé « on l’a perdue ». Puis je me suis dit, je vais attraper ma chaussure et tenter de la frapper avec, mais … j’avais des aiguilles dans le dos. J’ai donc opté pour une autre tactique et ai tenté de feinter. « Et si, je me couchais sur le côté comme ça, on serait bien non ? ». Elle m’a regardée fixement, j’ai compris que ma tentative de négociation avait échoué, je me suis retrouvée allongée sur le dos.
Elle m’avait dit, vous allez voir, vous aller vous détendre. J’avais une 20aine d’aiguilles réparties sur l’ensemble du corps. Là aussi, j’ai songé à tenter de la frapper avec ma chaussure, mais la réalité de ma situation fort délicate m’a rattrapée. Et aussi incroyable que ce soit, effectivement au bout de quelques minutes l’ensemble de mon corps s’est détendu.
Bref, je suis ravie de ma séance et j’en ai repris une autre. Mais je garderai mes chaussures près de moi …
PS : comme j’ai choisi un médecin généraliste (en zone 1), la 1ère consultation est entièrement remboursée par la sécu et les suivantes le son partiellement.
Le sport et moi, ça n’a jamais été l’amour fou. J’en suis dispensée depuis la 5ème. Mes derniers souvenirs de sport remontent à des joggings improbables dans un stade parisien porte de la chapelle. Mais aussi à l’apprentissage des barres asymétriques dans une petite salle du fond de la cour du collège Lamartine, où certains d’entre nous frôlaient la mort. Je suis sur que plusieurs garçons de la classe n’ont jamais pu avoir d’enfant depuis ou chantent désormais dans des aigus formidables.
Les salles de sport et moi.
Un jour, dans un acte de courage insensé, je me suis rendue dans une salle de sport. Toutes celles que j’ai visitées m’ont fait fuir. Je les trouvais impersonnelles, peu esthétiques. Ce jour-là, cette femme insistait pour me faire comprendre l’urrrrgence qu’il y avait à m’inscrire. Or je n’ai jamais aimé la vente forcée. Cela fait tomber en moi tout espoir de professionnalisme de mon interlocuteur et me donne envie de fuir. Alors que Barbie m’expliquait que la clé de mon futur corps svelte et musclé se situait dans cette salle, mon esprit vagabondait dans ce lieu inconnu. J’étais déjà dubitative mais à la vue des photos kitch de la soirée raclette, je me suis dit « stop », et suis partie en courant (comme quoi mon objectif de faire du sport était atteint).
C’est un fait, je n’aime pas faire du sport en salle car je suis aussi à l’aise avec la coordination des mouvements qu’une poule avec une fourchette. J’aime aller à mon rythme et je ne suis pas fixée sur ce que je veux faire. Et ne nous le cachons pas, j’aime la liberté de pouvoir faire du sport en slip chaussettes, si je le veux, de pouvoir m’arrêter pour aller prendre un verre d’eau. Et de pouvoir courir pour récupérer le chat coincé en haut de l’étagère. Bref, les salles de sport pour le moment, ça n’est pas pour moi.
L’option cours à la carte sur Internet.
C’est en surfant sur le net à la recherche d’un tapis de sol pour faire un peu de yoga chez moi, que j’ai trouvé des cours en ligne gratuits et je me suis dit que ce serait une riche idée de partager cela avec vous. Le net, c’est un bon intermédiaire avant d’intégrer un vrai cours. Mon chouchou en la matière c’est le site Domyos live qui est mis en place par la Décathlon. Le site propose des séances vidéo filmées en direct d’une salle de sport. Après plusieurs semaines de pratique en direct de mon salon et sous le regard ébahit et parfois effrayé du chat, voici mon avis.
Avantages :
- 45h de cours à la carte variés (yoga, body training, pilates …) 7j/7.
- Des astuces pour pouvoir faire les exercices en fonction de son niveau.
- Des prof vraiment sympa et pédagogues.
- Un planning clair.
- La possibilité d’exporter l’horaire d’un cours vers son google agenda.
- La liberté de faire ce que l’on veut, y compris des pauses dans le cours.
- La liste des articles de sport qui nécessaires à la pratique du cours (mais beaucoup de cours ne nécessite pas de matériel).
- Pratique : les cours sont accessibles sur ordinateurs, tablettes, mobiles.
A améliorer :
- L’importation vers d’autres types d’agenda (type iCal) et un descriptif plus clair.
- Développer la partie communautaire.
- Intégrer la possibilité de voir des cours en replay.
Bon Domyos votre produit est chouette, si vous voulez l’optimiser, je suis votre femme !
Bref, cette option me ravit car le web regorge de vidéos vraiment appréciables. J’en aime particulièrement cette vidéo vintage de Marie Forleo. Et comme je suis toujours à l’affût de nouveautés, dites-moi quelles sont meilleurs vidéo sport.
Pour se lever du bon pied et pour avoir de l’énergie tout au long de la journée, il y a des dispositions à prendre. Des petits plus qui vont vous aider à optimiser votre vitalité. L’idée est de faire de ces astuces des habitudes qui vont rentrer dans votre quotidien. Les américains parlent de « daily routine ».
Le premier réflexe du matin est l’hydratation.
Pourquoi ? Tout simplement parce que l’eau est l’une des principales composantes de notre corps. « Notre cerveau est composé de 76% d’eau, nos poumons de 90%, notre sang de 84%, et le plasma sanguin de 98% ». L’eau a une autre fonction, elle transporte les nutriments dans le corps, vers les organes vitaux. Elle a aussi un rôle essentiel dans la température de ce dernier. Et « last but not least », elle contribue à la croissance et à la régénération du corps. Vous comprenez qu’il est donc capital de bien s’hydrater et ce dès le premier pied posé sur le sol.
La qualité de l’eau.
Il est recommandé de prendre une eau tiède (proche de la température du corps) afin d’éviter les chocs thermiques et d’en faciliter l’assimilation. Pensez à la qualité de l’eau. Si l’eau de votre robinet, ne vous convient pas ou que vous avez des doutes sur sa qualité vous pouvez la filtrer avec le système de votre choix.
Certains recommandent de boire le matin de l’eau et rien d’autre, pour ne pas déclencher de processus de digestion. D’autres recommandent de boire une eau additionnée d’un jus de citron.
Boire un jus de citron, le matin à jeun.
Pourquoi ? Car cela permet :
- Une action au niveau des organes : cette pratique aide le foie à éliminer les toxines de l’organisme. Il va activer la sécrétion du foie et de la bile, pour mieux assimiler votre repas.
- Rétablir l’équilibre acido-basique du corps : le citron a cette étrange particularité d’être acide au goût, mais dans l’estomac, de se transformer en produit basique. « Le citron est un fruit particulièrement riche en acide citrique, et on pourrait le croire acidifiant pour l’organisme. Mais, il est surtout très riche en sels minéraux. Lors de l’absorption du jus de citron, l’acide citrique est très rapidement éliminé par le poumon en acide carbonique, et il reste dans l’organisme les sels minéraux qui alcalinisent » (source de cette citation, site fondation Kousmine).
Eau citronnée du matin. Méthode.
Verser un demi-jus de citron dans de l’eau chaude. L’idéal est de ne pas manger tout de suite pour que cette boisson face son effet (attendre si possible entre 15 et 30 minutes avant de prendre votre petit déjeuner).
A faire en cure (en intersaison) ou régulièrement selon votre organisme.
C’est donc le Karaté TOS de Troyes dirigé par Fabrice Vinot, qui m’a accueilli. Si simplement, je vous dis que pendant des années mon adage personnel c’était « le sport c’est comme la drogue ça ne passera pas par moi », je pense que vous avez vite en tête mon profil sportif. Je voulais présenter ce club, parce que me faire rester c’était loin d’être un pari gagné. Comme dans toute discipline, l’accroche avec l’enseignant est fondamentale. Fabrice a 5 dan a son actif, et enseigne le karaté wado ryu depuis 30 ans, mais ce n’est pas cela qui a retenu mon attention. Ses cours reposent sur une vraie pédagogie, qui s’adapte à tous les niveaux et à tous les tempéraments. Cela se retrouve d’ailleurs fortement dans l’ambiance du club où les plus gradés encadrent les nouveaux. Du coup, si vous êtes tous perdus (comme moi) ou désireux de partager (comme moi aussi) c’est le bonheur.
Bon je ne vous cache pas qu’à l’heure actuelle, je ressemble plutôt à un bisounours sur un tatamis.
Fabrice – Tu as qui en face de toi ?
Célinette – Ben Sarah.
Fabrice – Non tu as un type horrible qui te veut du mal !
Célinette – Ah bon ?!!!
Moi qui voulait me maintenir en forme, je ne pouvais pas trouver mieux. Parce que l’échauffement au karaté c’est clairement pas pour les mauviettes. J’ai initialement opté pour la tactique de repli stratégique, en m’éloignant le plus possible de l’axe de vision de Fabrice (au fond à gauche me semblait cré cré bien). Sur ce Fabrice m’a très aimablement proposé de venir au milieu de la salle. Quand je vous dis qu’il est super sympa ! De plus je tiens à souligner le tempérament écologique de Fabrice (et vous savez l’importance que cela a pour moi) puisqu’il ne chauffe quasiment pas la salle. Si c’est pas beau tout ça :) Bon remarquez après 5 minutes d’échauffement, on a plus froid c’est clair ;)
En dehors du karaté, du self défense et de l’aïkido, le club propose du body karaté (exécution de mouvements de karaté sur un rythme musical). Je me suis dit, je vais m’y inscrire ça doit être relax. Pour finalement m’apercevoir qu’en trois cours j’avais pris des bras et des abdos, grâce au dynamisme et à l’entrain de Laurent. Malgré une pratique un peu disparate (je suis souvent en déplacement) et des difficultés personnelles à reprendre le sport, je suis ravie d’être membre de ce club. J’ai rarement trouvé un anti-stress aussi efficace que celui-là. Et j’avoue que ce sport à une incidence directe sur la confiance que l’on peut avoir en soi. Un jour, je sais que je pratiquerai le karaté avec dextérité et que je ferai au moins aussi peur qu’une tranche de jambon de chez Leader Price (si si j’vous jure).
Samedi dernier , j’avais mis mes belles chaussures de filles, mon beau collier (« même que » Giao il l’a déjà vu et il a dit « Waaaaaaaa ton collier, c’est Versailles !) et un bracelet un peu spécial me permettant d’accéder aux tribunes du Stade de l’Aube. Le but ? Soutenir l’équipe de France de foot féminin qui vise la coupe du monde. Les éliminatoires de foot pour le mondial 2007 qui aura lieu en Chine.
On en entend peu parler de cette discipline féminine. Je voulais donc voir ces jeunes sportives de plus près. Et bien lâchez tous vos « a priori », le match était super. Très technique, dans l’action et avec une vraie stratégie d’équipe, les filles se sont battues comme des chefs, et ont gagné 2-1 contre l’Autriche.
J’ai passé un très bon match entourée de mes deux amies fans de foot Nathalie & Mily qui étaient toutes deux très contentes de la qualité du dit-match. J’ai crié comme un homme, j’ai eu mal pour les filles qui s’entrechoquaient, je me suis indignée face à la partialité de l’arbitre et j’ai appris de nouvelles expressions. Et non « elle va aller au pressing » ne veut pas dire, elle va saloper sa tenue ! Parce qu’elles osaient aller au contact les dites dames, fallait voir ça !
Mr Aimé Jacquet est venu en personne au stade de l’Aube, vi vi vi, pour nous dire qu’il fallait changer les mentalités et permettre à cette discipline d’être dûment reconnue. Et personnellement, je suis contente que des femmes défendent leurs envies en pratiquant un sport qui ne leur est pas, de facto réservé.
Reste que je me pose la questions de leur rémunération (si quelqu’un a des infos merci de les mettre en comm.), il me semble qu’elles ne sont pas professionnalisées. Et dans un reportage (il y a plusieurs années) je me souviens d’une rémunération équivalente à 60 euros par match… Oui oui vous avez bien lu !
En outre, ce match ne m’a pas empêché de faire mes pitreries usuelles dont des jeux de mots variés (subits par Mily). J’ai eu aussi l’immense bonheur de pratiquer mon sport favoris : être sur des photos qui ne me concernent pas. Ainsi je me suis retrouvée par hasard aux cotés d’Aimé Jacquet (assailli par une ordre de fans, présentant des symptômes de stress inquiétants)… et qui bien sûr voulaient faire une photo avec lui… Au dernier moment je me décalais, un sourire béat de satisfaction, me retrouvant ainsi dans le champ de la prise de vue. Je pense avoir réussi mon coup et être sur la quasi-totalité des clichés. J’espère que les fans maîtrise leur logiciel photo leur permettant de me faire disparaître de leur prise de vue !