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Méli-Mélo

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J’aime les sms parce qu’on peut en un instant faire un clin d’oeil à quelqu’un sans avoir peur de le déranger. Parce qu’on peut recevoir des pensées sur le vif, des éclats de pleurs ou de joies, des déclarations ou des boutades.
A l’heure où la vie de mon téléphone portable sonne son dernier glas, j’ai relu quelques sms gardés de-ci de-là. Je ne nommerai ni auteur ni contexte ni date.
J’aime ces phrases en suspend qui ont marqué mon coeur. Alors merci à tous ceux qui les ont écrits.
"Bonne nuit mon coeur, tu étais resplendissante. Le fait de t'attendre 3 ans me rend fou. Je t'aime"

"Je suis en ville et même pas Madame me répond quand je l'appelle, ben merci !!! Je t'embrasse"

"J'aurai aimé être avec toi. Je suis sûr que tu es le parfait compromis entre tendresse romantique et petite diablesse. Courage pour le lit froid"
"On ne dit pas assez aux personnes importantes qu'on les aime. Je t'aime Bisous"

"Tu es ma drogue donc c'est bon ramène juste tes petites fesses"
"Réveillée Poulette ?"

"Un petit sms pour te souhaiter une bonne semaine et un petit bisou pour te remercier de ta tendresse douce Céline... Ah j'allais oublier. J'adore ton séant rebondi ;)"

"Tout est dit ne rajoute surtout rien. Je te comprends... Je t'aime. Bisou"

"C'est malin j'ai rougi. Ton message est si doux. Je te souhaite toute la douceur de la force, belle amie"

"Trop tard il y 9 autres personnes qui vont vouloir me draguer! Je passe trop peu de temps avec toi pour me permettre le luxe de te bouder".
"Bon t'arrête de draguer Merde !!!" (sms reçus 4 fois - par 4 personnes différentes - en l'espace d'une minute).

J’allais vous préparer une jolie note sur ce week-end festif, accompagné d’un joli film explicatif … mais j’ai découvert ce matin que ma carte mémoire avait rendu l’âme. Vous dire que je suis dégoûtée est un faible mot.

Faire la route du champagne c’est aller à la rencontre de la campagne … parfois profonde. C’est ainsi que lors de mon périple j’ai croisé la route de Roger (ce nom est bien évidemment un pseudonyme usité dans l’optique de préserver l’anonymat de cet individu… et lui éviter par la même occasion que la ligue anti-boulet exécute sur le champ une répression exemplaire). Roger bien qu’ayant dépassé la quarantaine, croit encore fermement dans le bon usage du dérapage en vélo pour impressionner les femmes. C’est donc avec une détermination de dragueur aguerri qu’il s’exécuta sous mes yeux.

Alors qu’il se penchait ferment sur l’avant du vélo, l’arrière de celui-ci (du vélo pas de Roger) se souleva et vint atterrir sur mon bras droit me procurant une douleur aussi vive que ma stupéfaction. Bien évidemment je m’attendais à des excuses aussi plates que sa technique de drague, mais le Roger me dit :
– Rhoooooooo la vache !!! J’comprends pâs d’habitude quand j’dérape la roue part dans l’aut’ sens !
– Vous êtes sur que ça va bien dans votre tête ?
– D’habitude j’dérape hyper bien… Merde j’suis vexé !
– Oui ben moi j’ai mal au bras.
– J’suis désolé vraiment, pardon, pardon …
– Oui oui ça va.
– Et ce soiiiiiiiiir ?!!! Vous allez dancer ?
– NON !!!
– On s’retrouvera peut-être (sourire mêlé d’espoir et de certitude un peu démentielle).
Personnellement j’étais super contente de m’être débarrassée du Roger.

Quelques heures plus tard, au bal du village.
– Helllllllo c’est moi vous me reconnaissez ?!!!
(Moi pas de réponse, regard désabusé).
– Heyyyyyy c’est moi le gars du vélo !!!
– Oui c’est bon je vous avais reconnu.
Il parle au groupe puis me regarde et se rapproche de moi.
– Tu danses ?
– Non.
– Tu danses ?
– Non
– Tu danses ?
– Non
Ce n’est pas que je m’ennuie vite mais les relations répétitives euh …. Comment dire… j’ai supputé qu’il mettait en oeuvre une technique soporifique visant à endormir ses victimes en l’absence de GHB. Je ne sais pas quel don avait ce Roger, mais il nous a suivi dans nos divers lieux d’amusement de cette journée. J’espère qu’aucun Roger ne sommeille en vous, parce que je vais être très claire, les résultats escomptés sur la gente féminine sont maigres.

Quand il y a peu j’ai choisi l’option faisons des articles sponso, de temps en temps, j’étais motivée par la curiosité. Mais je me suis aperçue que les annonceurs me sélectionnaient surtout pour parler « fesses ». Du coup j’ai pris une décision sans appel : JE NE PARLERAI PLUS JAMAIS DE SEXUALITÉ ICI ! QUE CE SOIT BIEN BIEN CLAIR !

Nan mais… Pardon ? Comment ? Taggée ? … Non désolée je ne vois pas. Balbc ? Jamais entendue parler. J’ai dit non ! Quoi un pot de Nutella est en jeu ? Ok c’est parti :

  • Si j’étais un slip: je serai un tanga parce que c’est juste ce que j’aime entre le décolté et le réservé. Je serai d’une texture qui appelle la caresse et je pousserai des cris de ouistitis quand on me laisserait glisser. Mais si les sous-vêtements ça crie (quand on sait les apprivoiser).
  • Si j’étais un Sextoy : je serai des boules de Gheishas juste pour que les femmes n’oublient pas tout ce qu’elle peuvent faire avec leur corps ;)
  • Si J’étais un fantasme : je serais à portée de main et délicieusement inaccessible.
  • Si je devais faire l’amour avec un animal : mais faire l’amour, c’est déjà délicieusement animal, non ? ;)
  • Si je devais te dire quelque chose à l’oreille pendant qu’on fait l’amour : j’éviterais de me tromper de prénom ;)
  • Si j’étais Clara Morgane, mais avec mon cerveau actuel: je me demande comment je gérai le fait de dispenser des cours et de faire du porno.
    – Bonjour à tous, je ne me présente pas vous m’avez tous déjà vu dans « la trique au gîte »(film pour lequel j’ai d’ailleurs obtenu un Hot d’or), nous allons aujourd’hui étudier notre programme sur la règlementation juridique appliquée à la logistique nationale et transnationale.
    – Oui David ce sont de vrais seins, ouvrez votre polycopié page 2.
    – Non Jérôme vous ne pouvez pas coucher pour avoir une meilleure note, votre gabarit ne vous le permet hélas pas.
  • Si j’étais une zone érogène: je serais exigeante :)
  • Si j’étais un détail absolument irrésistible: je serais fière de faire la différence.
  • Si j’avais une morale sexuelle : du respect, du plaisir, du respect, du plaisir ….
  • Si je me réveillais demain, sans pénis, ni vagin: je serais un ange :)

Comme je veux voir des courageux j’aimerai que trois personnes se désignent pour répondre à ce test par commentaire:)

Cela fait environ une heure que j’entends de beuglements humains sous mes fenêtres. Bien sûr il pourrait s’agir d’un amoureux transit d’amour manifestant ainsi son désarroi face à mon indifférence toute féminine. Mais non il n’en n’est rien. Une bande d’hommes accompagnent de manière assez lancinante un homme grossièrement déguisé en lapin qui enterre sa vie de garçon (et apparemment son élégance aussi).

Ils ont décidé de faire un siège au bar Pmu en bas de chez moi. Les râles se font donc de plus en plus alcoolisés et le lapin en a même perdu ses pieds roses (il lui reste la tête et le costume Dieu merci).  De là, ils accostent dans un mugissement féroce, toute personne qui passe pour faire au mieux la bise au lapin et au pire … je ne veux pas savoir. Ca tombe bien je dois sortir de chez moi dans 15 minutes et comme je suis en robe de soie grise, avec des yeux charbonneux et de ravissantes petites chaussures à talons, ils vont me laisser tranquille … hein ? Priez le bon Dieu des lapins pour qu’ils m’épargnent !

Même quand je donne un coup de main en extra dans une profession qui n’est pas la mienne, je reste d’une conscience professionnelle exemplaire … C’est ainsi que cet après-midi, vendant des vêtements de cuisine, je restait vigilante à la tenue d’un jeune cuisinier. En effet, je me devais de lui rappeler qu’il ne devait pas porter son pantalon professionnel en taille basse. Ajoutant le geste à la parole, je lui remonte avec énergie le pantalon jusqu’à la taille … C’est en observant son faciès qui se déformait sous la douleur que j’ai compris que je l’avais remonté un peu trop haut … ;)

… sont parfois lumineux. Cela dépend de la couleur qu’on y donne. Pour les faire changer de couleur, voici ma solution :
– Une belle amie.
– La joie au coeur à l’idée de la retrouver !
– Le nez au vent, histoire de laisser la vie glisser sur son corps.
– Et les yeux grands ouverts !

C’est donc par cet après-midi de pluie, rue du Temple, mes pas trottinant au rythme de ceux de la charmante Sukie, que nous avons poussé un cri de concert : « Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! » Nous venions de tomber amoureuse face à deux hommes entrain de discuter une vitrine pleine de couleurs & de choses chamarrées. Des lettres blanches baptisant fièrement le lieu :
I LOVE MY BLENDER !

J’ai alors posé un escarpin dans cette caverne d’Alibaba sous le regard bienveillant du propriétaire des lieux.
Après en avoir pris plein les mirettes, j’ai poussé un deuxième cri : « Ohhhhhhh » (vous voyez rien à voir avec le premier) devant la nouvelle édition du livre « Des fleurs pour Algernon » de Daniel Keyes.
Devant les interrogations de Sukie, j’ai dit :
– Laissons la parole au spécialiste (en désignant le propriétaire des lieux).
– Je ne l’ai pas lu.
– Ah oki… Je reprends la parole alors ?

Me voilà donc en quelques secondes entrain de préciser la trame du livre tout en essayant de ne pas en dévoiler les moments les plus importants. Conquise, Sukie s’empara de la vie de Charlie Gordon et de sa relation particulière avec la souris Algernon. Comme dans tout bon échange de procédé, Sukie m’a conquise sur un autre livre : « Eat, Pray, Love » retraçant les interrogations et le cheminement de vie d’Elizabeth Gilbert.

C’est au milieu de cette librairie bilingue, que Christophe Persouyre s’est mis à me parler du livre « La route » de Cornac Mc Carthy. Et là en l’écoutant vous êtes mus par des émotions ambivalente : l’écouter pendant des heures et ne plus quitter la boutique / partir sur le champ pour dévorer le livre. Bref rue du temple au numéro 36, se cache une île au trésor, habitée par un personnage qu’il fait bon rencontrer. Je ne peux que vous encourager à mettre ces moments de magie dans votre vie !

Je ne sais pas vous, mais moi j’ai longtemps cru que mon bonheur dépendrait d’un changement de circonstances. Du changement très exact des faits qui faisaient que ce jour là, à ce moment là de ma vie, où je n’étais pas clairement heureuse. Car si on ne sait pas toujours quoi faire pour atteindre son bonheur, on a toujours ce sentiment aussi profond que juste, de savoir quand la vie peut encore être perfectible.

Petite je savais que je serai plus heureuse avec un autre contexte familial, avec un autre jouet, avec une tortue, avec d’autres lieux … Avec le temps je me suis aperçue que les circonstances sont assez peu influentes sur ma vie. Et que finalement, leur attribuer une si grande importance, c’est accepter de ne pas vivre sa vie. C’est accepter de concéder son courage à un fait. Se dire si ceci arrivait, je serai plus cela.

Or il n’en n’est rien. Je m’en rends compte là ce soir, de manière un peu plus tangible que les autres fois. Qu’on le veuille ou non notre façon de voir la vie, la modifie dans ses moindres détails. Je pense qu’on agit beaucoup plus sur les circonstances que le contraire. Là, derrière l’écran ça ne se voit pas, mais je modifie mon comportement sur certains aspects de ma vie. Parce que j’en ai enfin, le courage, parce que j’ai les idées plus claires. Et ça change tout un contexte, vraiment.

Là, ce soir je me rends compte que ce qui manque parfois à la vie, ce ne sont pas des circonstances mais du courage. Je me rends compte que ma nostalgie du passé m’a surtout servie à ne pas aller trouver les ressources en moi, à manquer de foi dans mon avenir, et d’investissement dans mon présent.

Bref, les choses changent.
Ca remue, mais c’est bien :)

Vous dire que j’ai récupéré tout mon sommeil dépensé sur le dancefloor de la maison du lapin serait un vilain mensonge. Mais mais mais je suis sur la voie de la rédemption puisque ma vie toute chouette reprend son cours…

Par des cours justement, sur l’Europe . Ce qui est un très bon outil pour ne pas s’endormir. Si je me sens la paupière lourde, il me suffit d’imaginer Jean-Claude Trichet en slip pour avoir un sursaut d’effroi et garder les deux yeux grands ouverts.

Pour les entre-cours, les affaires reprennent (c’est à dire les repas entre amis). J’ai à midi déjeuné avec ma grande supportrice du week-end-lapin (Julie) qui a eu la merveilleuse idée de me prêter un très chouette bouquin : « le catalogue Good Planet – 1000 façon de consommer responsable ». Là, le grand bonheur où comment apprendre mille choses et découvrir des sociétés qui proposent des produits aussi intéressants qu’originaux.

En attendant, je préfère trottiner dans les rues de Troyes afin de roder ma première jupe en jean, trouvée chez Marithé & François Girbaud …. enfant ;) Et pour ce qui est de mon programme vespéral c’est : c’est poulet au sésame avec le ludique David et petite virée au bar « La Cave » ;)

Bon reprise à certains, et très belle semaine aux autres !

A cette époque mon ami O. travaillait dans de beaux locaux situés derrière le Printemps Haussmann. Il m’arrivait d’aller le voir pour un café et papoter quelques minutes.

Ce jour-là, il était ravi, il venait d’avoir une tablette graphique grand format et un écran super grand. Il m’a expliqué tout ce qu’il pourrait faire professionnellement avec. « Tiens essaye-là, tu verras c’est super ! » dit-il enthousiaste. J’ai donc pris sa place, j’ai pris le stylet et repensant à toutes ces années de cours de dessin que j’avais reçu aux beaux-arts, j’ai décidé dans un élan créatif de dessiner un phallus. Je ricanais comme une gourde au printemps ravie de mon exploit. O. me regardait un peu dépité mais patient. C’est le moment qu’a choisi son collègue pour faire irruption dans le bureau pour une demande urgente … faisant face à l’écran.

Je tenais toujours le stylet dans ma main. Sur l’écran 27 pouces mon phallus artistique s’étalait de tout son long. J’ai pensé à mille solutions pour m’en sortir, mais je n’en n’a retenu aucune. J’ai donc choisi de faire comme si de rien n’était. Le collègue visiblement interloqué, a fait de même puis est parti. O. m’a retiré la tablette des mains. J’ai comme l’impression qu’il ne me la prêtera pas tout de suite …

roman-sculpture

Bon je vous l’accorde à mon âge, je ne devrai plus me poser là question. Je devrai avoir déjà toutes les réponses. Mais non ! ;)

Je l’avoue sans aucune pudeur, certains zhommes sont en général très très amoureux de moi. Pendant au moins 15 jours ! Après, trou dans la chaussée, baguette magique ou affres de la vie… Ils disparaissent. Les hommes ont en général sur eux tout un arsenal du « je ne peux pas m’engager là maintenant, tout de suite c’est pas possible, y’a de l’huile sur le feu » … Même s’il ne s’agissait en fait juste d’apprendre à se connaître.

Parmi, le cher inventaire de leurs excuses, ils ne peuvent pas car :
– Ils ne sont pas prêts.
– Ils ont eu une enfance difficile.
– Ils sont absorbés par leur vie pro.
– En sortant avec une petite brune, ils réalisent qu’ils aiment les grandes blondes.
– En vous embrassant, ils réalisent que Samantha, celle qu’ils viennent de quitter. C’est THE femme of their life.

Au début :
– Je pleurais à chaudes larmes.
– J’implorai le ciel en écoutant des chansons mélancoliques.
– Je criai des pourquoiiiiiii à mon pot de Nutella qui par solidarité masculine je présume, ne pipait pas un mot.

Maintenant quand je constate un évanouissement dans les airs je me dis : ah tiens c’est son heure. Bon voyage l’ami :) Mais grâce aux joies de l’ère moderne, je m’aperçois que ceux qui disparaissent, qui n’ont même pas la force ce clapoter un message (aïe mes doigts, aïe, aïe) : consultent mon blog (parfois toutes les heures) et mon profil Facebook. Oh toi mââââle adepte de la disparition surprise, ne serais-tu pas un peu perdu à l’intérieur de ton dedans ?

Grace à un mail de Deweysax, j’ai découvert le site une vie de merde. Je n’ai pas trop accroché sur le principe … raconter des anecdotes, de plan loose, de malchanse, de maktoub… Mais curieuse de nature, je suis allée y jeter un oeil. Et là j’ai éclaté de rire ! Je vous livre quelques extraits :

– Aujourd’hui, je passe devant l’église de mon quartier en voiture. Des piétons se jettent presque sous ma voiture, alors j’ouvre la fenêtre et leur dit en plaisantant : « y’a failli y avoir des morts », une piétonne éclate en sanglots, ils allaient à un enterrement…

– Aujourd’hui, mon petit frère de 15 ans et qui est tout content d’avoir « enfin » des poils sur le torse entre dans salle de bain, torse nu pendant que je me brosse les dents. Il me dit « regarde j’ai lissé mes poils », je lui demande avec quoi, il me répond « avec ta brosse à dents

– Aujourd’hui, au boulot (je bosse dans un resto-bar) un client vient me donner quelque chose en me disant « vous pouvez me le garder le temps du repas ? ». Comme d’habitude sans même regarder ce dont il s’agit je réponds « oui, mais ne l’oubliez pas en partant ». Coup d’oeil : c’était le fauteuil roulant de sa femme.

– Aujourd’hui, j’ai oublier les clefs de chez moi. J’ai du passer par un trou aménagé dans le grillage pour laisser entrer mes chats, sous le regard étonné de mes voisins (je mesure 1m53 et je pèse 35kg). J’habite ici depuis 6 ans. Ils ont appelés les flics…

– Aujourd’hui, j’ai passé une colposcopie (visite de mon moi intérieur en passant par l’endroit fait plutôt pour expulser). Je me réveille à coté d’une bombe, je commence la conversation, et visiblement le doc m’avait pas parler des effets secondaires, j’ai pété pendant 1 heure.

– Aujourd’hui, un collègue est venu au boulot avec une cravate HORRIBLE. Je lui demande comment il ose porter ça et il répond : « C’est tout ce qu’il me reste de mon père. » Après quelques secondes durant lesquelles je me sentais super mal, il éclate de rire et me dit que c’est un cadeau de sa fille.

Je suis sure que des tas d’entre vous peuvent y apporter une contribution :)